新闻稿

A la surprise générale, à commencer par la mienne, l'EDF remporte la PPM Football Cup pour la première fois de son histoire, finissant même invaincue dans ce tournoi regroupant les 16 meilleures équipes au Monde au classement PPM.

Avec une moitié de l'effectif formée de "réservistes", et des ambitions au départ limitées (les meilleurs joueurs ayant été laissés au repos), l'EDF a tenu son rang d'éternelle "outsider", victorieuse cette fois.

Cette finale (comme la demi-finale contre l'Italie, d'ailleurs) aura été lettonne quant à la domination territoriale, mais française au nombre de tirs cadrés. La Lettonie regrettera probablement longtemps d'avoir manqué un penalty, qui aurait pu changer sensiblement le sort de la rencontre s'il avait été marqué.

L'Argentine, championne du Monde en titre et grandissime favorite, tentera de "cuver" sa désillusion d'une demi-finale gérée de manière bien trop insouciante, "à l'économie", la tête déjà manifestement en finale avant d'avoir joué la demi-finale, en briguant la 3e place.

Ce titre fait suite à une demi-finale de Coupe du Monde et une finale de Coupe d'Europe. Mais aussi une aussi amère désillusion que l'Argentine à la précédente PPM Football Cup, où l'EDF s'était faite sortir piteusement quoique de manière improbable en poule pour avoir elle aussi cru pouvoir jouer son dernier match "à l'économie", pour se préserver pour une "non-suite"... Une dure leçon qui aura donc été cette fois retenue.

Une couronne mondiale que l'EDF arrachée certes de haute lutte mais qu'elle peut raisonnablement espérer confirmer l'an prochain en Coupe du Monde. D'autant plus que l'EDF n'alignait pas ici son meilleur effectif : tous les espoirs sont donc permis.

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